Livre d'or
La beauté déclinable à l'infini. Plus de double, plus de " repro ", mais le partage par le singulier - accessible à tous. Effectivement un nouvel âge. Merci. A.S.
The first time I have seen anything quite like it. I would love to see more. E. S-B.
Des vœux lumineux pour celui qui nous offre une subtilité si raffinée, une harmonie si libératrice. Emportée par le mouvement sublime du Beau, je remercie toutes ces œuvres si riches ; je remercie profondément celui qui leur a donné Vie. S.D.
Le végétal qui se reproduit à l'infini, jamais le même, sous le regard du peintre et la maîtrise technique. Un nouvel art serait-il en train de naître ? D.H
Où sont-elles ? emportées, retournées, puis revenant au devant très fort… C'est qu'elles sécrètent leur espace qui semble sourdre toujours d'une pulsion inédite. Magiquement. E.S.
Bravo et passionnant ! Quel travail de finesse… C.M.
Depuis le Big-Bang la création se perpétue et les formes que revêt l'énergie se renouvellent sans cesse. Vous leur ajouter la dimension de l'avenir avec la multiplication. J.H.
Jusqu'où iras-tu, Etienne, dans ce nouveau monde qui nous fait découvrir que l'harmonie des couleurs devient fille de la technique informatique (ou est-ce l'inverse ?) ? J&D.P.
La technologie qui ne trahit pas l'art, donc l'homme, voilà qui nous donne de l'espoir ! C.C.
Des souvenirs d'enfance me reviennent en regardant les tableaux d'Etienne, mon grand-père soignait ses orchidées avec beaucoup d'amour. Je revois ses gestes rituels quotidiens que j'imagine ceux d'Etienne. Merci c'est profond… Y.M.
La fleur comme un effort de la matière à l'énergie pure de l'esprit. S.A.
Ainsi approcher la matière ; quel exploit ! B.P.
La légèreté, la finesse et à la fois la vibration de la matière au travers du mutiple, c'était une gageure que tu as su largement réaliser. F.K.
Une très belle signalétique extérieure, mais non il n'y a pas que cela ! Je trouve que la mise en espace et la mise en scène des orchidées est très pertinente. A.C.
C'est poétique ; c'est musical et plein de délicatesse. N.F.
Entre les fleurs papillons, les chiens volants et les scorpions ailés, je suis subjuguée par la beauté à la fois si frêle, si diaphane et pourtant si forte et si prenante de ce procédé des M-A. F.V.
A la rencontre de Luis Borges et Walter Benjamin, vos fleurs dévoilent la variation infini du potentiel chromatique que la Nature et la technique permettent d'exploiter. F.
Le geste de l'artiste n'est, heureusement, pas dissous par la machine… Merci pour ce travail innovant. Ch.L.
L'art et la science ont peut-être le même langage : celui des fleurs. N'est-ce pas une belle leçon d'optimisme ? Ph.F.
L'artiste et le scientifique ont la même démarche. Pour une première ce fut une réussite. Peut-être grâce aux fleurs. C.T.